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L’HOMME D’AFFAIRES Camerounais BABA AHMADOU DANPULLO VICTIME DE LA XÉNOPHOBIE EN AFRIQUE DU SUD.

L’AFFAIRE OPPOSANT MONSIEUR BABA AHMADOU DANPULLO AUX BANQUES SUD AFRICAINES

 

1. Monsieur BABA AHMADOU DANPULLO est un homme d’affaire africain de premier plan, connu et respecté dans tous les pays africains, c’est la première fortune d’Afrique noire francophone d’après le classement du Magazine FORBES Afrique.  

2. Ses investissements sont variés et on le retrouve dans les secteurs suivants sans que cela ne soit exhaustif (L’agroalimentaire (Minoterie, plantations de thé dont la plus grande sur le même site au monde, 8000 hectares à Ndawara),Téléphonie mobile, (Il est le Président du Conseil d’Administration de VIETTEL Cameroun SA), L’élevage (il possède le plus grand cheptel bovin du Cameroun et de la sous-région), Le transport et la logistique et le transit maritime, terrestre, L’immobilier (avec un parc immobilier diversifié à travers le monde, Cameroun, Nigéria, Afrique du Sud, Paris, Genève etc.), L’exploitation minière, et la prise de participation à la SODECOTON, ADC, etc.).

 

3. Dans le cadre de ses activités immobilières en Afrique du Sud, et séduite par le montant de ses revenus locatifs, la FIRST NATIONAL BANK qui est une filiale de la FIRST RAND BANK lui a accordé un crédit d’investissement en vue de l’acquisition d’un immeuble commercial à hauteur de 21 milliards de francs CFA soit environ 615 millions de rands.

 

4. Cette convention de crédit prévoyait que le remboursement allait s’étaler sur une période de 10 ans.

 

5. BABA DANPULLO a toujours respecté les échéances de paiement de son crédit malgré le COVID qui a été reconnu comme un cas de force majeure par toutes juridictions du monde.

 

6. Sans raison apparente, un nouveau Directeur Général de ladite banque mis en mission par le groupe de prédateurs déterminés à faire main basse sur le parc immobilier de Monsieur BABA AHMADOU DANPULLO a sans raison apparente et objective, décidé d’arrêter avec les sociétés de BABA DANPULLO, alors qu’aucun signe d’alerte n’était perceptible dans leur relation, et a exigé le remboursement anticipé, immédiat et intégral de la dette.

 

7. Dans une machination savamment organisée avec la Justice Sud-africaine, les sociétés BESTINVER ont été déclarées en cessation de paiement, et par des procédures judiciaires sommaires violant les droits de la défense, ont mis l’ensemble de ses sociétés en liquidation.

 

8. Le crédit d’investissement de 21 milliards de francs CFA accordé était assorti d’affectation hypothécaire au profit de la banque, ce qui veut simplement dire qu’en cas de défaillance du débiteur, la banque réalise l’hypothèque.

 

9. La banque a en plus de cette affectation hypothécaire, exigé d’autres garanties dans un plan bien ourdi, ce qui allait par la suite aboutir à la braderie de l’ensemble du patrimoine de BABA DANPULLO.

 

10. Pour le recouvrement de 21 milliards de francs CFA, la First Rand Bank maison mère de la First National Bank va piller le patrimoine de Monsieur DANPULLO d’une valeur de plus de 300 milliards de francs CFA.

 

11. Ils ont saisi et mis en liquidation tout le patrimoine immobilier, les loyers, les sommes logés en banque, et tous les actifs de BABA DANPULLO.

 

12. Toutes les actions judiciaires introduites par BABA DANPULLO devant les tribunaux sud-africains en vue de la préservation de ses droits vont faire face à des rejets systématiques, la machine de son expropriation ayant été mis en en branle.

 

13. Ces actes xénophobes des sud-africains avaient déjà pris de l’ampleur avec l’attaque des commerces des nigérians et autres africains dont leur seul péché est d’avoir pensé aller investir et travailler en Afrique du Sud.

 

14. Alors qu’on croyait qu’il s’agissait des actes isolés des populations désœuvrées qui en voulaient à leurs frères africains, la cas DANPULLO vient nous démontrer qu’il la xénophobie est présente dans les plus hautes instances politiques de l’Afrique du Sud.

 

15. Le Président de la République Sud-Africaine saisi par son homologue camerounais a opté pour la duplicité, prétextant qu’il s’agit des affaires et qu’il ne peut intervenir dans un dossier de justice.

 

16. Le Président en exercice de l’Union Africaine saisi en intervention a également essuyé une fin de non-recevoir de la part du Président Sud Africain.  

 

17. Si BABA DANPULLO du haut de sa renommée en Afrique et dans le monde, fort de ses importants investissements réalisés dans ce pays peut être traité avec tant de xénophobie et avec si peu de considération, qu’en sera-t-il du commun des camerounais et autres africains dans ces pays ?

 

18. Elle est bien loin l’époque où les pays du tiers monde caressaient le rêve d’une coopération sud-sud. Au vu de cette dérive xénophobe des sud-africains, les noirs africains devraient réfléchir et revoir la destination à prendre pour le travail et les investissements, mais surtout pas l’Afrique du Sud.

 

19. Dans le but d’obtenir justice et rentrer dans ses droits, les instances judiciaires camerounaises ont été saisies et les affaires suivent leur cours.

 

20. Les comptes de la société MOBILE TELEPHONE NETWORKS CAMEROON LIMITED en abrégé MTN Cameroon et de CHOCOCAM SA ont été saisis conservatoirement par ordre de la justice pour sûreté et avoir paiement de la somme au principal de 243.760.000.000 (Deux cent quarante trois milliards sept cent soixante millions) de francs CFA.

 

21. Le lien entre MTN, CHOCOCAM est que ce sont des sociétés dont la majorité des actions est détenue par l’Etat d’Afrique du Sud au travers de sa société d’investissement PUBLIC INVESTMENT CORPORATION qui est également actionnaire de la FIRST RAND BANK.

22. Une procédure au fond en paiement est également introduite devant le Tribunal de Grande Instance du Wouri. Les procédures suivent leur cours.

Connaissant l’homme d’affaires Baba Ahmadou Danpullo, il ne va pas baisser les bras et aura le soutien de plusieurs chefs d’État et de gouvernement en Afrique et des organismes internationaux qui luttent contre la corruption et la mauvaise gouvernance . Par ailleurs l’État sud-africain doit lutter contre l’injustice et la corruption, sinon les investisseurs vont fuir le pays pourtant considéré stable depuis 1996 à l’avènement de Nelson Mandela au pouvoir.

Par: Ibrahima Saleck BA.